• Ololê ou O lo lê (appel que se lançaient les bergers bretons) est le nom d'un journal illustré breton destiné à la jeunesse qui paraît de 1940 à 1944 puis de 1970 à 1974 sous le nom l'Appel d'Ololê. C'est également le nom d'une maison d'édition.
• Le journal est créé par Herry Caouissin et Vefa de Bellaing, Ololê est une publication nationaliste et chrétienne. À son lancement, le sous titre est:  journal illustré des petits Bretons.
  
• Bimensuel à ses débuts, le journal devient hebdomadaire puis trimensuel. Il change plusieurs fois de format et adopte la couleur par périodes.
  
• 4 pages du n°1 au n°44, le n°33 intitulé spécial comporte 8 pages.
• 8 pages du n°45 au n°59.
• 4 pages du n°60 au n°74 avec deux numéros spéciaux de 8 pages n°67 et 72.
• Vu la pénurie de papier, la parution sera suspendue le mois de juin 1942. Un appel au public est faite aussi pour lever des fonds. Et le journal réapparait le 12 juillet 1942 avec le n°75 avec 2 pages!
• 2 pages du n°75 au n°81.
• 4 pages du n°82 au 131 (8 pages pour le n°102).
• 2 pages pour le dernier numéro 132.
  
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• À partir de 1943 sa devise est "Doue ha Breiz","Dieu et Bretagne".
  
• Ololê proposait dans ses pages des articles sur l'histoire et la culture bretonne, des romans illustrés, des reportages (...), ainsi que des bandes dessinées.
  
• Quelques textes sont publiés en breton.
  
• Plusieurs auteurs de renom sont publiés dans les pages d'Ololê : Benjamin Rabier, Hergé (Tintin au pays des Soviets, à partir du n°64), Job de Roincé, Rémy Bourlès et surtout Étienne le Rallic qui a illustré de nombreuses histoires parmi lesquelles :
• Les loups de Coatmenez de Jeanne Coroller-Danio,
  
• Le Corsaire des îles de Jacques de Seisses,
• Gaït, la cavalière du Texas, de Étienne le Rallic,
• Gonéri, le filleul de Cadoudal de Hervé Cloarec,
• La croisade des loups (suite des Loups de Coatmenez) de Jeanne Coroller-Danio et Herry Caouissin.
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• Ololê est l'un des journaux qui a la plus vaste audience pendant les années de guerre grâce, en partie, à l'appui bienveillant de l'occupant allemand qui exploite le particularisme breton. Certains numéros sont tirés à 20 000 exemplaires. Le 132e et dernier numéro du journal paraît le 28 mai 1944.

source: wikipedia