Collection de ALL
Les avis de lecture de ALL
Whisky San
Série :
Whisky San LUMINEUX ! |
Le nécromanchien
Série :
Le nécromanchien j'ai souri, ri, pleuré et dévoré l'album alors que mon chien bouffait son os... |
Achevé d'imprimer
Série :
Achevé d'imprimer Noir c'est noir et il y a une histoire... |
Derdhr du Talion
Série :
Nains Que de logorrhées ! |
Les trésors de Marvel
Série :
Les trésors de Marvel De 1939 à nos jours, vivez la fabuleuse histoire de la « Maison des idées » et de ses personnages. Des Pulps aux adaptations cinématographiques fructueuses, Les Trésors de Marvel est un véritable livre musée. Quand on voit le bel emballage (un fond rouge sur lettres argentées), on compare tout de suite au titre qui célébrait les 75 ans de DC comics. Mais alors que celle-ci s'était alliée avec Taschen éditions pour publier un pavé de 7 kilos, l'ouvrage Les Trésors de la Marvel est édité par sa propre maison avec Hors Collection pour la version française. |
1964-1967 : le duel Ferrari-Ford
Série :
24 heures du Mans Cet album raconte de l’intérieur l’ascension de Ford de 1964, début de son engagement manceau, jusqu’aux victoires aux 24 Heures 1966 et 1967. Il est vrai que ce chapitre, l’un des plus fabuleux de l’histoire des 24 Heures du Mans, contient tous les ingrédients pour tenir jusqu’au bout le lecteur en haleine : l’humiliation du refus du rachat de Ferrari par Ford ; les débuts difficiles, malgré la performance brute, du constructeur américain dans la Sarthe ; la venue d’Henry Ford II pour donner le départ des 24 Heures 1966 ; le rôle essentiel de Carroll Shelby, vainqueur en 1959, devenu directeur sportif de Ford en 1965 ; les drames aussi, avec la disparition du pilote américain Ken Miles, deux mois après sa deuxième place de 1966, et à qui Carroll Shelby dédiera la deuxième victoire de Ford en 1967. |
Escales en femmes inconnues
Série :
Escales en femmes inconnues Les Editions Page 69 proposent à un public averti les belles Escales en femmes inconnues de Joël Alessandra, dont on retrouve avec plaisir trois constantes très appréciées dans ses autres albums: le goût pour les couleurs vives ou chaudes, celui des voyages et, bien sûr, celui des jolies femmes et de leur corps. Le narrateur est un dessinateur: "Mon métier c'est le dessin" annonce-t-il dès le début de ce bel ouvrage de 64 pages (le carnet, les esquisses, sont donc présents à de nombreuses occasions). Est-ce pour autant un récit autobiographique ou fantasmé? Au fil de ses voyages, il fait la connaissance de jolies jeunes femmes - modèles, prostituées, masseuse ou adepte de la cérémonie du thé - avec lesquelles il a d'éphémères et torrides relations. Les corps, féminins et masculins, les rapports, sont montrés de manière très réaliste, précise, envoûtante, excitante même. C'est d'ailleurs ici une ode à la diversité des origines: "Yéménites, somalies ou éthiopiennes. Grandes, minces, à moitié nues pour certaines sous la transparence des boubous. Insaisissables. Presque des mirages sortis tout droit d'un conte des mille et une nuits." Le narrateur aime le mystère, le plaisir d'une femme portant des bas nylon, celui d'une autre s'offrant tandis que le thé infuse. Il devient parfois le contemplateur (et même le sujet...) d'amours homosexuelles. Il est en route, de Rome à Pékin, en passant par Djibouti ou l'Ethiopie, sur les traces de Rimbaud. Bien que le propos ne soit pas le même que celui d'Hugo Pratt, on songe à Corto Maltese, à Eugène Delacroix, et à bien d'autres choses encore. Parfois même, le dessinateur devient modèle à son tour. Finalement, s'il fait l'amour avec ces femmes, c'est sans doute parce que sinon, "la couleur manque à notre désir", comme il l'affirme: ces aventures répétées donnent intimement et véritablement vie et chair à ses oeuvres. Et la sensualité ne s'arrête pas à celle des corps, elle est partout, par exemple "cette odeur familière de l'eucalyptus, de la galette d'Injera et du café que l'on fait griller sur le pas des portes..." Cet album suscite donc de variés et multiples plaisirs. |
Bouche du Diable
Série :
Bouche du Diable LA BOUCHE DU DIABLE |
Les fabuleuses chroniques d'une souris taciturne
Série :
Les fabuleuses chroniques d'une souris taciturne Timide et introverti, le jeune personnage principal de Les Fabuleuses Chroniques d’une Souris Taciturne l’est assurément. Et le fait de déménager seul avec son père ( récemment séparé de sa mère ), dans un nouveau coin de campagne, inconnu et potentiellement plein de menaces, ne va pas arranger les choses. Surtout quand on a facilement peur et beaucoup d’imagination… Dans ce nouvel environnement inquiétant, comme peut l’être tout ce qui est inconnu aux yeux d’un enfant, notre protagoniste va devoir affronter bien des épreuves, de ces affreux triplés qui vont faire de lui leur souffre douleur attitré aux terribles ectoplasmes qui hantent la forêt, et en passant par d’étranges épisodes |
La grande Odalisque, Tome 1
Série :
La grande Odalisque Une réinterprétation moderne du mythe de la cambrioleuse féline popularisé par ''Cat's Eyes'' ou ''La Main au collet'' d'Alfred Hitchcock. |
Intégrale un parfum de yétis roses
Série :
Bob Marone |
Chasse à l'Ogre
Série :
Ogres Dessin efficace et scénario picaresque aux traits d'esprit qui font mouche sur le zygomatique. |
Back to perdition, Tome 1
Série :
Back to perdition Des Dupont la joie s'en donnent à coeur-joie dans l'outback, édifiant et sordide à souhait. |
L'imagination au pouvoir ?
Série :
Jour J Dessin aux teintes psychédélique et scénario étonnament bien ficelé mais cèdant à la facilité d'utiliser les VIP d'aujourd'hui, même si DSK manque à l'appel, dans des situations fictives et naturelement uchroniques. |
Heroic - TT
Série :
Heroic Superbe ! |
Le chemin de l'Amérique
Série :
Le chemin de l'Amérique Ce qu'on en pense sur la planète BD : A l’occasion de la présidence de Baru sur le festival d’Angoulême 2011, les éditions Casterman en profitent pour rééditer quelques pépites de cet auteur « engagé ». Dans ce one-shot, l’auteur embrasse deux thématiques récurrentes de son œuvre : la boxe (il la creusera à travers le diptyque L’enragé) et la révolte politique (ici, la guerre d’indépendance d’Algérie). Il s’agit en effet de l’histoire (presque) vraie d’une gloire de la boxe algérienne, dont l’ascension sportive et médiatique, en France puis aux USA, est perturbée par la guerre. En marge de ses combats et de ses victoires, le héros y est en effet racketté par l’impôt révolutionnaire et ses courriers déchirants avec son frère, politiquement engagé, rythment la narration. La question sous-jacente est aussi celle de l’instrumentalisation et de la récupération : à travers son parcours d’excellence, Boudiaf est-il un symbole ? Et symbole de quoi, et pour qui ? Le choix du sport de « combat » pour souligner ces questions n’est pas vraiment innocent, au regard de la révolte politique qui a toujours animé Baru. Au scénario, Jean-Marc Thévenet, acteur multi-casquettes du 9e art français, s’est en réalité inspiré de la vie authentique du boxeur algérien Chérif Hamia, champion d’Europe 1957. La mise en scène de fausses photos et coupures de presse, ainsi que la restitution du contexte géopolitique réel accordent beaucoup de crédibilité à cette histoire, au point de la confondre avec une BD documentaire. Sur ce plan, tout comme sur celui du dessin semi-réaliste, acéré et hargneux, qui vous happe pour ne plus vous lâcher, c’est une franche réussite. Lors de sa première édition, l’album a d’ailleurs été récompensé par l’alph-art du meilleur album 1991 au Festival d’Angoulême (6 ans après le prix de Baru en tant que « révélation »). |
Armageddon
Série :
Fox One |
Joseph Adams
Série :
La compagnie des ténèbres Décrivant l'éternelle lutte du beau et du mâle démoniaque, le scénario reprend le theme nazi, Thulé, jungle et pseudo uchronie mais avec une variation écolo traumatisante, le dernier des ours blancs est mort ! |