Collection de Arkio
Les avis de lecture de Arkio
Chroniques de Psychiatrie (1)
Série :
Say hello to Black Jack Après la fin du long arc sur la cancérologie dans le tome précédent, nous débutons avec Saitô les "chroniques de psychiatrie". Il est à noter d'ailleurs que ce tome (bien rempli) n'est finalement qu'une introduction à ce nouveau service, reprenant un développement similaire aux précédentes chroniques. Ainsi tout comme l'oncologie ou la natalogie, on va sans doute une fois encore (et pour notre plus grand plaisir) passer par une phase de découverte où les problématiques sont posées, puis par la mise en avant d'un cas clinique pour se confronter à ces problématiques, une phase triple de doute, d'actions et de remises en question et enfin une conclusion bilan, qui en général a fait progresser le héros tout comme le lecteur qui l'a suivi et s'est véritablement posé autant de questions (sans forcément, bien sûr, atteindre toutes les réponses). |
Ki-itchi !!, Tome 5
Série :
Ki-Itchi !! QUEL CHOC! QUELLE FORCE!! |
Saint Seiya G, Tome 6
Série :
Saint Seiya episode G A vrai dire les tomes se suivent et se ressemblent plus ou moins. On a donc là encore droit à des combats de chevaliers |
Mars, Tome 15
Série :
Mars (1ère édition) Enfin la fin d'une série que j'ai longtemps attendu de commencer |
Battle Royale, Tome 11
Série :
Battle Royale Comme les tous derniers tomes et vu le faible nombre de participants restants ce tome s'attache à l'un des derniers persos principaux en vie, le génie de kung-fu qu'est sugimura. Moins de gore que dans d'autres tomes, un trait toujours maitrisé et détaillé avec ce chara design très spécial qui ne pourra pas plaire à tout le monde et qui exacerbe l'expressivité corporelle et surtout faciale. Un peu de calme avant la toute fin du tome et l'apparition de kiriyama "l'invincible". Encore une fois on s'étonne de trouver un personnage qui soit aussi "parfait" au delà de la limite du possible. Déjà que dans cette classe il y avait de vrais génies comme mimura (dans le basket, l'informatique ou la maitrise de soi) comme sugimura (dans les arts martiaux) ou d'autres invraisemblables héros de 14 ans, voilà celui qui apprend les choses rien qu'en les lisant une fois, (capable de jouer un récital de mozart au violon la première fois qu'il touche un violon, capable de battre un maitre en judo la première fois qu'il pratique le sport, capable de comprendre n'importe quoi et de le reproduire en le subissant une fois) un surhomme, digne des plus grands cyborgs qu'il n'est pas donc et qui se permet mm de jouer au poseur involontaire en gardant toujours sa cape qui vole au vent quand il reçoit les "cent coups de pégase" et bien sûr aucune blessure et la coupe parfaite qu'il reçoive des coups ou qu'il subisse une explosion de batiment. Cette surenchère exagérée peut vraiment énerver à la longue, mm si l'on peut supposer que les auteurs du manga l'ont créé ainsi pour rendre la victoire finale des héros plus glorieuse (à moins que la fin change on ne sait jamais parce qu'on ne voit pas très bien comment un humain pourrait le battre ) Par contre à prendre au premier degré ça se laisse lire tout seul avec encore une fois une exagération des caractères et du gore qui aura sans doute fini par émousser un certain nombre de lecteurs j'en suis sûr... La fin dans 4 tomes. |
Rg Veda, Tome 10
Série :
RG Veda Un petit bilan sur l'ensemble de cette série : |
Tsuru Princesse des Mers, Tome 3
Série :
Tsuru Princesse des Mers Cette série en 3 volumes est ma foie assez plaisante. Son graphisme rappelle fortement le gekiga, même s'il date des années 2000. L'intérêt réside surtout dans la description totalement inusitée des peuples marins de la mer intérieur du japon au moyen âge ainsi que par le personnage de Tsuru, magnifique portrait d'une jeune femme qui vit ses rêves, se moquant de l'incroyable sensualité qu'elle dégage. Les rebondissements sont néanmoins rapides et il n'y a pas de vrai développement de l'intrigue (format court oblige) mais c'est à découvrir je pense. |
Samurai deeper Kyo, Tome 9
Série :
Samurai deeper Kyo Illustration de ce manga par un tome pris au hasard et qui reflète parfaitement à quel point son classicisme et ses idées repompées ailleurs font merveille pour passer un bon moment de franche rigolade au coin du feu (involontaire de l'auteur malheureusement) |
La rose de Versailles, Tome 2
Série :
La rose de Versailles un manga en 2 tomes que j'ai adoré :) |
Fushigi Yugi - La légende de Gembu, Tome 1
Série :
Fushigi Yugi - La légende de Gembu Quand je l'ai lu ça m'a rappelé combien j'aimais cette série de fushiyû!!! :up: :up: |
Mon papa n'est pas mon papa
Série :
Jojo's bizarre adventure 2 tomes 43 et 44 aux sorties peu espacées. D'un certain point de vue, il ne faudra pas rechercher une vraie originalité par rapport aux précédents tomes de cette 4e saison car on a encore la présentation de nouveaux stands (et accessoirement de leurs possesseurs car pour deux d'entre eux il y a une indépendance certaine du stand révélé) et la manière avec laquelle ils vont mettre à mal un de nos persos principaux et comment ce dernier va finalement se tirer d'une situation a priori sans issue. |
Hors-série
Série :
Hikaru no Go un tome un peu spécial cette fois ci car après la fin de la période "sai" avec le tome 17 on fait une pause et les auteurs nous livrent 6 nouvelles compilées ici centrées sur un personnage que l'on a déjà rencontré auparavant. |
Les lamentations de l'agneau, Tome 1
Série :
Les lamentations de l'agneau Une oeuvre assez prometteuse je dois dire et plutot captivante. Jugez plutot : |
Transparent, Tome 8
Série :
Transparent C'est le fin du premier cycle avec ce tome (on a rattrapé l'édition japonaise aussi malheureusement) et déjà l'on peut dresser un bilan forcément positif de ce grand manga. Bien sûr c'est, il faut l'avouer, mal dessiné, des visages simples, un trait peu détaillé, des décors vides. Mais par contre pour ce qui est des caractères des personnages rencontrés, de l'intelligence dont ils font montre, de la grande humanité qui se dégage de chaque situation sans que chacun reste forcément bloqué dans ses positions (le professeur yamada en est un exemple étonnant vraiment) et de l'attachement que l'on éprouve à les retrouver à chaque tome c'est vraiment d'une puissance étonnante. |
Berserk, Tome 10
Série :
Berserk Rahhhh !! :D J'adore véritablement ce manga. Avec ce tome on se rapproche de la fin de l'animé (épisode 22) et on se rend compte aussi de quels éléments le DA s'est affranchi pour l'adaptation de ce magnifique manga. |
La marque du bélier rouge 2
Série :
Comte Cain Parlons d'aboord du graphisme de ce manga, oeuvre de jeunesse de kaori yuki : Hésitant au premier tome, il change déjà beaucoup dès le second pour atteindre la même qualité que celle d'angel sanctuary dès le 4e avec d'ailleurs des personnages qui donnent une très bonne idée de ce que sera A+S. (en gros riff=katan, mary=sarah, jezabel disraeli=rochel etc...) |
Alien 9, Tome 2
Série :
Alien 9 J'ai acheté ces manga suite au visionnage des OAV éditées il y a qq mois par dybex. Pour ceux qui les ont vu, la totalité des OAV reprend le 1e tome du manga et le début du tome 2 (jusqu'à la mort du gros alien sur le toit de l'école le "yellow knife" ) Pour resituer les choses, on a affaire ici à une série très spéciale ou des élèves de primaire (3 filles ) sont désignées par leur classe respectives pour devenir le groupe anti-alien de l'école. Les alien sont apparues il y a une vingtaine d'années et l'action doit se passer si je me souviens bien vers l'année 2020. (mais ça n'a pas vraiment d'incidence, pour la vie de tous les jours c'est notre monde) |
Coq de combat, Tome 12
Série :
Coq de combat Avec ce 12e tome vient la fin d'un long combat amorcé dans le tome 8 : le combat de ryô contre sugawara. Un combat qui est martelé comme le combat du mal (ryo) contre le bien entre ce poids léger qui a autrefois tué ses parents et qui ne recule devant rien pour arriver à ses fins (notamment un viol, ce qui en passant avec qq autres scènes de sexe cru et de violence n'en fait absolument pas un manga à lire pas tout le monde) et ce poids lourd, génie des arts martiaux qui a un passé d'honneur pour ne pas subir la déchéance de son père. |
Basara, Tome 23
Série :
Basara Enfin, shuri et sarasa s'acceptent tels qu'ils sont et vont combattre ensemble, même si leurs compagnons ne le voient pas du mm oeil. La reprise d'une vraie histoire d'amour n'est pas pour tout de suite sans doute mais déjà un rapprochement fondamental est effectué dans ce tome. Après ce qui est arrivé à shuri au tome 22, cette "perte" réunira des compagnons qui s'étaient séparés et permettra à tatara et au roi rouge de voir clairement le pays qu'ils vont vouloir construire. Reste asagi qui va chercher une ultime fois sa place dans le jeu politique entre tatara et la famille royale mais je pense que ce n'est qu'un ultime rebondissement de l'auteur et une dernière épreuve pour mériter la révolution qui est en train de s'accomplir. |
Crying Freeman, Tome 1
Série :
Crying Freeman Pas de surprise dans ce premier tome, on retrouve exactement la trame de la 1e OAV (plus précisément la moitié de cette OAV, jusqu'à la retrouvaille d'emu et yo à sa poterie d'Isu) et donc pratiquement aussi celle du film de christophe Gans. Le dessin c'est d'Ikegami donc on a bien ce style gekiga moderne avec ces filles plantureuses, ces hommes musclés, ces scènes de violence sans concession et des scènes de sexe tellement brutes et en mm temps si éthérées, comme si le rapport au corps et à l'espace qui contient ce corps faisait tout. L'histoire n'est pas encore très avancée pour pouvoir entrevoir ce que sera vraiment ce manga par la suite, mais on a bien ces personnages fières, prêt à mourir ou à tuer n'importe quand, une ambiance unique à freeman et un amour particulier qui se transcendra par la mort et les sacrifices. Les ébauches diverses sont là (sauf peut être "le machisme" de l'auteur et de la série qui ne transparait pas visiblement encore) et nul doute que je ne m'arrêterai pas là pour cette série si désabusée et en mm temps si indéfinissable, un peu comme le contexte d'une organisation plus que condamnable (les 108 dragons) mais dont le héraut est un simple humain dont les larmes sont autant pour les autres que pour lui. |