Collection de Emmanuel
Les avis de lecture de Emmanuel
Toutes les larmes de l'enfer
Série :
XIII Un interlude dans la série : Van Hamme revisite les films de genre et nous sert un récit de prison avec toutes ses clichés : gardien sadique, évasion, etc. le tout sur fond de traitement psychatrique aux électrochocs... pendant ce temps là, on en sait pas plus sur XIII mais ça n'est pas très grave, le récit est suffisamment prenant pour qu'on ne s'en rende presque pas compte. |
Là où va l'indien...
Série :
XIII Le mystère s'épaissit et Van Hamme se plaît à brouiller les pistes. Le lecteur se fait balloter avec plaisir entre les fausses identités, les faux semblants et les jeux de dupe... on s'y prête avec une complaisance qui confine au masochisme... |
Le jour du soleil noir
Série :
XIII Van Hamme plagie Ludlum et propose sa propre version de "La Mémoire dans la peau" mâtinée d'affaire Kennedy. |
Les phalanges de l'ordre noir
Série :
Les phalanges de l'ordre noir Avec Christin, la bd devient dense, sombre inquiétante. L'émotion est à chaque coin de page. Chaque personnage a une véritable personnalité qui dépasse les deux dimensions du dessin. Quant à Bilal, on retrouve son coup de crayon incomparable. Il met en images cette fresque historique de manière presque palpable et la rend poignante. |
Le Choucas rapplique
Série :
Le Choucas Inimitable. Ce premier album inaugure une série dans la plus pure tradition des polars de la "série noire". Le dessin en noir et blanc colle parfaitement au récit et le personnage principal est un modèle de looser désabusé reconverti en privé de troisième zone mais avec un humour au vitriol. |
Arctic-Nation
Série :
Blacksad Le deuxième opus de la série reprend les atouts du premier : un graphisme superbe, des traits d'animaux qui font ressortir tous les travers des personnages et une ambiance très Amérique des années 50. |
Quelque part entre les ombres
Série :
Blacksad Un style graphique époustouflant, racé, précis, dynamique. Les couleurs sont à couper le souffle, tout en nuances. Le zoomorphisme m'a longtemps fait hésiter mais en franchissant le pas, je me suis aperçu qu'il s'agissait en fait d'un atout : les animaux qui prêtent leurs traits aux personnages leur lèguent également leurs traits de caractères et le scénariste s'en joue avec délectation et un humour très fin. |
Venise
Série :
7 secondes Le scénario captive instantannément et on s'identifie rapidement au protagoniste parachuté au milieu d'un complot qui le dépasse. L'humour n'est par ailleurs pas absent même s'il est souvent noir. Le style visuel est original avec en particulier des points de vue inhabituels. Le plus dur, c'est de rester sur sa faim en attendant la suite. |