T6 - La guerre fantôme
Carnets d'Orient
pour 4 notes.
Historique -
Ferrandez, Jacques Edition Casterman - 01/10/2002
EAN : 9782203390027 | ID-BDovore : 8861
Synopsis :
1954… la guerre d’Algérie…
Un irréversible clivage s’est produit, augmentant chaque jour et séparant les Français et Algériens modérés d’une part ; et de l’autre les partisans de l’indépendance ainsi que les intégristes.
La violence grandit. L’armée est mobilisée. Le pays s’enfonce dans une succession d’attentats. La répression va suivre…
Et c’est dans ce contexte sulfureux que l’on suit le parcours de quelques personnages des deux camps…
Qui sont les « bons », qui sont les « mauvais ?… ou inversement.
Un irréversible clivage s’est produit, augmentant chaque jour et séparant les Français et Algériens modérés d’une part ; et de l’autre les partisans de l’indépendance ainsi que les intégristes.
La violence grandit. L’armée est mobilisée. Le pays s’enfonce dans une succession d’attentats. La répression va suivre…
Et c’est dans ce contexte sulfureux que l’on suit le parcours de quelques personnages des deux camps…
Qui sont les « bons », qui sont les « mauvais ?… ou inversement.
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Ferrandez débute ici un second cycle qui sera composé de trois tomes et qui couvrira les années 1954-1956.
Il démarre son histoire en reprenant le moment de l’accident qui clôturait le cinquième épisode (lequel était aussi la fin du premier cycle).
Un bon tome que celui-ci, et où l’auteur dénonce les errances et –aussi- les excès commis par les partisans de chaque frange ; car des deux côtés il y aura des victimes… et aussi des bourreaux.
Au point de vue dessin, le traitement du graphisme réserve une chouette part à une sorte de côté pictural. J’ai ainsi apprécié quelques doubles pages où les cases sont mises en superposition par rapport à un « fond » constitué de très beaux paysages ou des vues de cités.
Au narratif, Ferrandez use d’un ton juste ; faisant ainsi une sorte de témoignage romancé pour mieux tenter de faire comprendre au lecteur les racines de cette d’Algérie. Et il y réussit.
Pas mal du tout.