©Éditions Carabas/James
Synopsis :
C’est bien connu, les lapins sont ovipares et sont très réactifs à la vue d’une femelle. Ce qui l’est moins, connu, tant les idées reçues sur les léporidés véhiculent l’évidence d’une vie sexuelle facile et très active, ce sont les efforts que les premiers doivent déployer pour tenter de séduire les secondes. Eh oui ! Vous ne le saviez peut-être pas, mais les lapines préfèrent aux mâles la dégustation de fleurs champêtres au-parfum-de-la-mort. Et ce n’est pas tout ! Imaginez un peu : il ne faudra pas moins d’une vie entière au jeune lapereau pour arriver à maturité et reposer en paix, au sens propre comme figuré.
Car il faut du temps pour tester toutes sortes de stratagèmes, éveiller sa sensibilité, s’émouvoir devant le poétique et verser quelques larmes face au monde cruel, avant de rebondir, saisissant par là même le côté éphémère de l’amour exclusif ou bien de l’amitié. Comprendre comment son corps fonctionne, s’imaginer héros d’un jour, jouer sur le vestimentaire, découvrir la rivalité mais aussi le caractère versatile des rapports dominants dominés. Se livrer, expérimenter, éprouver, grandir… et être créatif, voire joueur. Comme le sont les auteurs, James, Comme un lundi, Mauvaises humeurs de James et la Tête X, Dans mon open space, et Boris Mirroir, Sans queue ni tête, le premier au scénario, le second aux crayons et aux couleurs. Car ce qui marque à la lecture de cet ouvrage quasi muet, c’est l’inventivité permanente dont font preuve ces derniers. Elle s’exprime tout aussi bien dans le découpage de l'album que dans le mode de pagination, le mélange des genres et le détail des cases. Mêlant absurde et burlesque, les gags fonctionnent, sans nuire à la finesse de la retranscription des émotions, en toute simplicité.
Zzzwük, "celui qui ressemble à un lapin", ... et se comporte comme un humain ou, mieux encore, comme beaucoup d’adolescents, est un album sensible, cruel, drôle et rafraîchissant. Plaisir supplémentaire, il inclut de façon très habile la participation de plusieurs auteurs dans une galerie de portraits.
C. Constant
Source: éditeur
Car il faut du temps pour tester toutes sortes de stratagèmes, éveiller sa sensibilité, s’émouvoir devant le poétique et verser quelques larmes face au monde cruel, avant de rebondir, saisissant par là même le côté éphémère de l’amour exclusif ou bien de l’amitié. Comprendre comment son corps fonctionne, s’imaginer héros d’un jour, jouer sur le vestimentaire, découvrir la rivalité mais aussi le caractère versatile des rapports dominants dominés. Se livrer, expérimenter, éprouver, grandir… et être créatif, voire joueur. Comme le sont les auteurs, James, Comme un lundi, Mauvaises humeurs de James et la Tête X, Dans mon open space, et Boris Mirroir, Sans queue ni tête, le premier au scénario, le second aux crayons et aux couleurs. Car ce qui marque à la lecture de cet ouvrage quasi muet, c’est l’inventivité permanente dont font preuve ces derniers. Elle s’exprime tout aussi bien dans le découpage de l'album que dans le mode de pagination, le mélange des genres et le détail des cases. Mêlant absurde et burlesque, les gags fonctionnent, sans nuire à la finesse de la retranscription des émotions, en toute simplicité.
Zzzwük, "celui qui ressemble à un lapin", ... et se comporte comme un humain ou, mieux encore, comme beaucoup d’adolescents, est un album sensible, cruel, drôle et rafraîchissant. Plaisir supplémentaire, il inclut de façon très habile la participation de plusieurs auteurs dans une galerie de portraits.
C. Constant
Source: éditeur
Une erreur sur cette fiche ou votre édition est différente ? Vous pouvez proposer une correction ou proposer l'ajout d'une autre édition
(pour votre utilisation personnelle)
| Futur achat : Date d'achat : (dd/mm/aaaa) Prix/cote : |
| E.O : Dédicace : Cadeau : Lu : Ed. numérique : |
| Prêt : Dernier emprunteur : Email : |
| Remarque personnelle (état, mémo, ...) : |
* : Avis de lecture qui apparaîtra pour tous les visiteurs sur le site