T8 - L'ombre de l'ange
Le Scorpion
pour 18 notes.
Aventure -
Desberg, Stephen/
Marini, Enrico Edition
EAN : 9782505004745 | ID-BDovore : 56698
Synopsis :
Le Scorpion est de retour! Au grand désarroi de Trebaldi, le pape sanguinaire qui ne rêve que d'une seule chose: le tuer. Une nouvelle bataille a donc commencé: un véritable combat à mort s'est engagé entre ces deux hommes. L'un cherchant à connaître la vérité, l'autre faisant tout pour la dissimuler...
source: éditeur
source: éditeur
Une erreur sur cette fiche ou votre édition est différente ? Vous pouvez proposer une correction ou proposer l'ajout d'une autre édition
(pour votre utilisation personnelle)
Futur achat : Date d'achat : (dd/mm/aaaa) Prix/cote : |
E.O : Dédicace : Cadeau : Lu : Ed. numérique : |
Prêt : Dernier emprunteur : Email : |
Remarque personnelle (état, mémo, ...) : |
* : Avis de lecture qui apparaîtra pour tous les visiteurs sur le site
Je ne suivrai pas LYmagier et pignolet dans cette farandole de compliments.
Certes la série reste d'un très bon niveau d'ensemble, mais ce n'est pas grâce à ce numéro.
Je me appelle avoir subi la même frustration lors de la première lecture à sa sortie, à savoir une impression de bâclé du dessin à la"va comme j'te pousse".
Le trait est plus grossier (volontairement pour faire "mode") perdant ainsi le raffinement qui caractérise les personnages et l'époque et surtout les dessins sont beaucoup moins précis, surtout les visages.
Chic, je retrouve le Scorpion dans un nouvel opus qui continue le cycle débuté avec « Au nom du père ».
Une bonne histoire, encore, où le Scorpion va se trouver mêlé à une succession de nouvelles découvertes sur son identité. Oui, mais (heureusement il y a un « mais », ce qui relance l’intérêt de lecture) : certaines jalousies pourraient faire que notre héros perde une partie des bénéfices de sa quête.
Ce nouvel album mélange ainsi habilement l’action et les intrigues ; un heureux mélange d’ailleurs où l’on se plaît à suivre le postulat et ses développements ainsi le graphisme.
Et là, une fois de plus, Marini nous « sort » du tout bon. Son trait réaliste captive, mis en scène dans des cases où suintent diverses atmosphères.
Une bonne histoire, un bon graphisme réunis pour un tome qui, d’une certaine façon, relance la série.
ce deuxième cycle est une véritable tuerie !!! dans tous les sens du terme , scénario et dessin sont à l'apogée de ce que représente la bande dessinée . sans doute la meilleure série à ce jour ! du moins pour ce second cycle . merci aux auteurs .