La piste de l'Oregon (N&B)
La piste de l'Oregon
Western - Corbeyran, Éric/ Krings, Jean-Marc
Couleur : <n&b>
Edition BD Krings - 18/04/2024
EAN : 9791041531615 | ID-BDovore : 380486
Synopsis :
« La piste de l’Oregon », comme on l’appelait à l’époque, était empruntée par des colons venus de tous horizon qui partageaient le même rêve d’une vie meilleure en terre promise : l’Oregon.
Ils empruntaient à pied, à cheval ou en chariots bâchés, depuis Indépendence dans le Missouri, une piste longue de près de 3500 km. Le voyage débutait en avril ou en mai, quand les neiges hivernales avaient fondu.
À cette saison, l'herbe était suffisamment abondante pour nourrir les troupeaux et les attelages de chevaux et de bœufs. Pour s'approvisionner facilement en eau, les colons suivaient les rivières et les fleuves. Ce qui facilitait aussi la recherche de bois pour allumer les feux de camp.
Ce voyage semé d'embûches à travers une nature sauvage et souvent hostile durait au moins cinq à six mois. Les dangers y étaient nombreux : faune sauvage, intempéries, maladies, pillards et territoires indiens à traverser.
C'est pourquoi, par sécurité, ces colons armés voyageaient surtout en groupe, les convois étaient alors guidés par des « scouts» expérimentés et dirigés par un chef de convoi. Malgré ces précautions, un migrant sur dix mourait en route !
Le rêve d’une vie meilleure était à ce prix…
source: éditeur
Ils empruntaient à pied, à cheval ou en chariots bâchés, depuis Indépendence dans le Missouri, une piste longue de près de 3500 km. Le voyage débutait en avril ou en mai, quand les neiges hivernales avaient fondu.
À cette saison, l'herbe était suffisamment abondante pour nourrir les troupeaux et les attelages de chevaux et de bœufs. Pour s'approvisionner facilement en eau, les colons suivaient les rivières et les fleuves. Ce qui facilitait aussi la recherche de bois pour allumer les feux de camp.
Ce voyage semé d'embûches à travers une nature sauvage et souvent hostile durait au moins cinq à six mois. Les dangers y étaient nombreux : faune sauvage, intempéries, maladies, pillards et territoires indiens à traverser.
C'est pourquoi, par sécurité, ces colons armés voyageaient surtout en groupe, les convois étaient alors guidés par des « scouts» expérimentés et dirigés par un chef de convoi. Malgré ces précautions, un migrant sur dix mourait en route !
Le rêve d’une vie meilleure était à ce prix…
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