©Éditions du Canard/Roosevelt, José
Alice
Alice (Roosevelt)
Adaptation - Roosevelt, José
Edition Éditions du Canard - 18/10/2012
EAN : 9782940512003 | ID-BDovore : 329414
Synopsis :
En 1996, Roosevelt a reçu la commande d'illustrer le classique de Lewis Carroll, "Alice au pays des merveilles", dans une version adressée aux tout jeunes lecteurs, avec un texte simplifié. Il a réalisé ainsi 96 dessins en couleurs, à l'acrylique.
Ayant récupéré les droits de reproduction de ces illustrations cinq ans plus tard, l'artiste a hésité longtemps avant de les ré-publier. Finalement, en 2012, il a décidé de re-écrire ce livre qu'il chéri depuis son enfance et qu'il connaît très bien de par ses lectures en plusieurs langues, y compris le texte original en anglais, dont il possède quelques versions illustrées par, entre autres, Rackham et Steadman. La re-écriture rooseveltienne garde l'histoire telle qu'elle est, avec ses singuliers personnages, mais il remplace ce qu'il considère comme des références trop datées et locales (certaines incompréhensibles même pour les britanniques d'aujourd'hui) par des nouveaux jeux de mots, tics de langage et références plus universelles, sans tomber dans une "up-dating" qui risquerait elle aussi, un jour, d'être datée. Son but avoué était celui de récupérer l'esprit de Lewis Carroll, écrivain amusé et amusant, surréaliste avant la lettre et possédant un très fin sens de la satyre.
Une fois son texte terminé, il n'a eu que l'enrichir avec les illustrations qu'il avait faites quatorze ans auparavant et il a nommé ce livre simplement "Alice". Il ne s'agit pas vraiment d'une bande dessinée - les personnages ne se meuvent pas d'une case à l'autre - mais l'ouvrage emprunte au neuvième art l'artifice des "bulles" pour les dialogues.
Source : éditeur
Ayant récupéré les droits de reproduction de ces illustrations cinq ans plus tard, l'artiste a hésité longtemps avant de les ré-publier. Finalement, en 2012, il a décidé de re-écrire ce livre qu'il chéri depuis son enfance et qu'il connaît très bien de par ses lectures en plusieurs langues, y compris le texte original en anglais, dont il possède quelques versions illustrées par, entre autres, Rackham et Steadman. La re-écriture rooseveltienne garde l'histoire telle qu'elle est, avec ses singuliers personnages, mais il remplace ce qu'il considère comme des références trop datées et locales (certaines incompréhensibles même pour les britanniques d'aujourd'hui) par des nouveaux jeux de mots, tics de langage et références plus universelles, sans tomber dans une "up-dating" qui risquerait elle aussi, un jour, d'être datée. Son but avoué était celui de récupérer l'esprit de Lewis Carroll, écrivain amusé et amusant, surréaliste avant la lettre et possédant un très fin sens de la satyre.
Une fois son texte terminé, il n'a eu que l'enrichir avec les illustrations qu'il avait faites quatorze ans auparavant et il a nommé ce livre simplement "Alice". Il ne s'agit pas vraiment d'une bande dessinée - les personnages ne se meuvent pas d'une case à l'autre - mais l'ouvrage emprunte au neuvième art l'artifice des "bulles" pour les dialogues.
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