T3 - Lamu, Number 3
Lamu - Urusei Yatsura
pour 5 notes.
Mangas - Shônen -
Takahashi, Rumiko Couleur : <n&b>
Edition Glénat Manga - 07/09/2005
Collection Bunko
EAN : 9782723450188 | ID-BDovore : 30935
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le 3e tome de lamu en format bunko qui confirme tout le bien que j'avais pensé du 2e tome. Le premier était plutot décevant avec des histoires peu développées, mal maitrisées graphiquement et où les personnages n'avaient pas encore les caractères que nous leur connaissons (notamment lamu qui était bien en retrait et passait plus pour une joie de vivre que comme l'extraterrestre plein de vie et d'amour lucide pour ataru.)
Avec le tome 2 vient l'apparition de mendo (ça m'avait d'ailleurs frappé que ce soient les personnages E.T qui apparaissent en premier dans le manga alors qu'il me semblait qu'ils arrivaient bien plus tard dans le DA (à l'image du générique 6 "rock the planet")
et avec l'apparition de ce personnage haut en couleur on a droit à des situations vraiment hilarantes qui se poursuivent dans le tome 3. A celà il faut ajouter un format (petit) auquel on est maintenant habitué et qui se révèle finalement pas si mal que ça (et bien pratique à emporter partout ) bien lisible et que l'on a pour son argent (une moyenne de 20 histoires ce n'est pas rien).
Les personnages deviennent superbement attachants (lamu et ataru en tête) émouvant parfois mm, drôles, addictifs et même si toutes les histoires n'ont pas le mm intéret (certaines tombent à l'eau ou sont plus ou moins anecdotiques) il y en a une grosse part qui méritent d'être lues et qui feraient presque prendre conscience pourquoi lamu est devenu une telle oeuvre culte au japon (j'avoue ne pas être très objectif, j'ai toujours adoré cette série et ses personnages et j'aime bcp les films )
Bref, ne vous laisser pas démotiver par la lecture du premier tome, persévérer et vous aurez droit à un manga frais, dense et jouissif qui vaut pour moi largement plus que ranma 1/2 et une artificialité des situations et des sentiments bien décevante parfois (et qui d'ailleurs se prend paradoxalement trop au sérieux en ayant perdu une certaine fertilité des débuts de l'auteur).