T1 - Crying Freeman, Tome 1
Crying Freeman
pour 3 notes.
Mangas - Seinen -
Koike, Kazuo/
Ikegami, Ryoichi Couleur : <n&b>
Edition Kabuto - 27/09/2005
EAN : 9782752300577 | ID-BDovore : 30621
Synopsis :
Le jour de son vingt-neuvième anniversaire, la belle Hino Emu se remémore une journée particulière, celle où elle a vu un gangster chinois se faire assassiner devant ses yeux. Mais plus que cette mise à mort, c'est l'assassin qui a marqué sa mémoire... car combien de tueurs professionnels pleurent après avoir tué leur victime ?
Ce dernier, les yeux embués de larmes, lui avait dit son nom et au tréfonds de son coeur, Hino comprit que ses jours étaient comptés car lorsqu'un tueur donne son nom à quelqu'un, c'est qu'il s'agit de sa prochaine victime...
Ce dernier, les yeux embués de larmes, lui avait dit son nom et au tréfonds de son coeur, Hino comprit que ses jours étaient comptés car lorsqu'un tueur donne son nom à quelqu'un, c'est qu'il s'agit de sa prochaine victime...
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Pas de surprise dans ce premier tome, on retrouve exactement la trame de la 1e OAV (plus précisément la moitié de cette OAV, jusqu'à la retrouvaille d'emu et yo à sa poterie d'Isu) et donc pratiquement aussi celle du film de christophe Gans. Le dessin c'est d'Ikegami donc on a bien ce style gekiga moderne avec ces filles plantureuses, ces hommes musclés, ces scènes de violence sans concession et des scènes de sexe tellement brutes et en mm temps si éthérées, comme si le rapport au corps et à l'espace qui contient ce corps faisait tout. L'histoire n'est pas encore très avancée pour pouvoir entrevoir ce que sera vraiment ce manga par la suite, mais on a bien ces personnages fières, prêt à mourir ou à tuer n'importe quand, une ambiance unique à freeman et un amour particulier qui se transcendra par la mort et les sacrifices. Les ébauches diverses sont là (sauf peut être "le machisme" de l'auteur et de la série qui ne transparait pas visiblement encore) et nul doute que je ne m'arrêterai pas là pour cette série si désabusée et en mm temps si indéfinissable, un peu comme le contexte d'une organisation plus que condamnable (les 108 dragons) mais dont le héraut est un simple humain dont les larmes sont autant pour les autres que pour lui.