©Paquet/Ptiluc
Jeux sans frontière
Jeux sans frontière
pour 1 notes.
Autobiographie, Autofiction -
Ptiluc Edition Paquet - 18/06/2014
EAN : 9782888906476 | ID-BDovore : 184000
Synopsis :
Une BD pas très polie sur le monde complexe de l’aide humanitaire en Afrique.
Ptiluc a silloné l’Afrique à moto, il en retiré une expérience unique qu’il retrace ici. De ses rencontres avec les habitants démunis, aux ONG indispensables mais loin de tout... il dépeint avec son style unique la réalité du terrain. L’humanitaire, ce n’est pas vraiment ce que l’on croit...
« On peut dire que de 1997 à 2011, j’ai ,chaque année, passé sur le continent Africain des séjours de un à quatre mois, que j’ai sillonné le continent à moto un peu dans tous les sens et que j’ai souvent rencontré les gens des ONG, sur le terrain, comme dans les bureaux des capitales, qu’ils m’ont souvent raconté leur vie, leurs motivations, ou leurs désillusions, qu’ils m’ont conseillé des lectures indispensables (dont hélas, j’ai oublié les auteurs puisque je les ai lu sur place!) et que de tout ça, puis de mes expériences personnelles sur la route, sont nées des réflexions puis de petites histoires sur l’éternel paradoxe de cette nouvelle présence occidentale sur ce continent sous tutelle. J’ai aussi trouvé dans le «monde diplomatique» quelques surprenants articles dont le plus marquant était celui sur le trafic de la gomme arabique soudanaise, encore moins connu que celui du koltan congolais ! Aucun éditeur avant Paquet n’a eu envie de publier ce bouquin qu’ils trouvaient bien souvent trop politique ou trop violent, par rapport au joli monde des Bisounours qu’on trouve si souvent dans la BD actuelle ! ».
source: éditeur
Ptiluc a silloné l’Afrique à moto, il en retiré une expérience unique qu’il retrace ici. De ses rencontres avec les habitants démunis, aux ONG indispensables mais loin de tout... il dépeint avec son style unique la réalité du terrain. L’humanitaire, ce n’est pas vraiment ce que l’on croit...
« On peut dire que de 1997 à 2011, j’ai ,chaque année, passé sur le continent Africain des séjours de un à quatre mois, que j’ai sillonné le continent à moto un peu dans tous les sens et que j’ai souvent rencontré les gens des ONG, sur le terrain, comme dans les bureaux des capitales, qu’ils m’ont souvent raconté leur vie, leurs motivations, ou leurs désillusions, qu’ils m’ont conseillé des lectures indispensables (dont hélas, j’ai oublié les auteurs puisque je les ai lu sur place!) et que de tout ça, puis de mes expériences personnelles sur la route, sont nées des réflexions puis de petites histoires sur l’éternel paradoxe de cette nouvelle présence occidentale sur ce continent sous tutelle. J’ai aussi trouvé dans le «monde diplomatique» quelques surprenants articles dont le plus marquant était celui sur le trafic de la gomme arabique soudanaise, encore moins connu que celui du koltan congolais ! Aucun éditeur avant Paquet n’a eu envie de publier ce bouquin qu’ils trouvaient bien souvent trop politique ou trop violent, par rapport au joli monde des Bisounours qu’on trouve si souvent dans la BD actuelle ! ».
source: éditeur
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