©Casterman/Martin, Jacques
T5 - La griffe noire
Alix
pour 19 notes.
Aventures Historiques -
Martin, Jacques Edition
Collection Le meilleur de la BD
EAN : 9782203002807 | ID-BDovore : 8792
Synopsis :
Nous sommes à Pompéi...
En quelques nuits, trois nobles romains et certains de leurs gens sont retrouvés paralysés des membres et de la parole. Ils portent des traces de lacérations faites à l'aide de griffes. Des griffes ?... Alix découvre qu'il s'agit d'armes africaines, en forme de patte de léopard, utilisées par certaines tribus.
Une quatrième attaque est déjouée. Alix sauve un noble de ses assaillants conduits par un mage. Ce dernier ne souhaite qu'une chose : venger "Icara". Hypnotisé par l'individu, Alix grimpe sur un toit mais est sauvé par Enak alors qu'il se lance dans le vide.
Son enquête va le mener chez le vieux gouverneur Gallas qui lui apprend qu'après la chute de Carthage, une seule ville, Icara, avait échappé à la furie des Romains. Bien que commerçant ensuite avec Rome, ses habitants étaient restés farouchement carthaginois. Des émissaires romains y disparurent. Les foudres de Rome s'abattirent alors... 12.000 soldats prirent la cité et son port d'assaut. Il n'en resta rien. Quelques habitants à peine survécurent. Cela se passait il y a cinquante ans...
Quelle est donc cette menace qui plane au-dessus de Pompéi ?... Qui sont ces tueurs de la nuit aux armes africaines ?... Qui les commande ?... Et quel est son but ?...
(Texte : LYmagier)
En quelques nuits, trois nobles romains et certains de leurs gens sont retrouvés paralysés des membres et de la parole. Ils portent des traces de lacérations faites à l'aide de griffes. Des griffes ?... Alix découvre qu'il s'agit d'armes africaines, en forme de patte de léopard, utilisées par certaines tribus.
Une quatrième attaque est déjouée. Alix sauve un noble de ses assaillants conduits par un mage. Ce dernier ne souhaite qu'une chose : venger "Icara". Hypnotisé par l'individu, Alix grimpe sur un toit mais est sauvé par Enak alors qu'il se lance dans le vide.
Son enquête va le mener chez le vieux gouverneur Gallas qui lui apprend qu'après la chute de Carthage, une seule ville, Icara, avait échappé à la furie des Romains. Bien que commerçant ensuite avec Rome, ses habitants étaient restés farouchement carthaginois. Des émissaires romains y disparurent. Les foudres de Rome s'abattirent alors... 12.000 soldats prirent la cité et son port d'assaut. Il n'en resta rien. Quelques habitants à peine survécurent. Cela se passait il y a cinquante ans...
Quelle est donc cette menace qui plane au-dessus de Pompéi ?... Qui sont ces tueurs de la nuit aux armes africaines ?... Qui les commande ?... Et quel est son but ?...
(Texte : LYmagier)
Une erreur sur cette fiche ou votre édition est différente ? Vous pouvez proposer une correction ou proposer l'ajout d'une autre édition
(pour votre utilisation personnelle)
| Futur achat : Date d'achat : (dd/mm/aaaa) Prix/cote : |
| E.O : Dédicace : Cadeau : Lu : Ed. numérique : |
| Prêt : Dernier emprunteur : Email : |
| Remarque personnelle (état, mémo, ...) : |
* : Avis de lecture qui apparaîtra pour tous les visiteurs sur le site
Un tout bon scénario, encore, imaginé par Martin.
Une sombre et longue enquête qu'Alix va avoir bien des difficultés à résoudre.
Assassinats en séries, réminescences du passé, magie, hordes guerrières, combats et batailles de grande envergure déferlent en continu dans cette histoire.
Alix est confronté à des forces qui le dépassent. Avec lui, Martin fait parcourir au lecteur captivé les rues de Pompéi, les anciens comptoirs commerciaux carthaginois plantés sur les côtes d'Afrique, les forêts et grands espaces peuplés de civilisations encore "sauvages".
Il n'a pas son pareil pour mettre en scène les cités, espaces, régions découvertes. Son énorme documentation permet à tout un chacun de se replonger -avec délices- dans ces civilisations maintenant oubliées.
Souci du détail, bon scénario, mise en page encore classique mais qui évolue, trait sûr en font une bien belle pièce.
Il reste encore le ton emphasé des divers intervenants, la gestuelle est encore un peu raide, mais le "style Martin" est là, bien présent, et ne fera que bonifier.