©Dargaud/Greg
T7 - Les insolences d'Achille Talon
Achille Talon
pour 8 notes.
Humour -
Greg Edition
ID-BDovore : 6186
Synopsis :
De nouveau 44 pages de gags dont la quasi totalité se font chacun en deux planches.
Et quelles planches ! Un tsunami de gags éNAURMes, de situations plus que rocambolesques, de réparties verbales de très haute voltige... et tout cela dans des petites historiettes dues au génie créatif de Greg.
C'est à nouveau Talon dans sa vie de tous les jours, avec d'inévitables "habitués" : ses parents, Lefuneste...
Mais, et surtout, Greg nous livre une douzaine de planches relatives à la création d'une BD. A faire se dérider une carpe surgelée !
Mention -ô combien- spéciale au "docteur". De plus en plus fou, huit pages lui sont réservées.
Du vrai délire verbal et de situation. A ne pas mettre entre des mains sérieuses.
Et quelles planches ! Un tsunami de gags éNAURMes, de situations plus que rocambolesques, de réparties verbales de très haute voltige... et tout cela dans des petites historiettes dues au génie créatif de Greg.
C'est à nouveau Talon dans sa vie de tous les jours, avec d'inévitables "habitués" : ses parents, Lefuneste...
Mais, et surtout, Greg nous livre une douzaine de planches relatives à la création d'une BD. A faire se dérider une carpe surgelée !
Mention -ô combien- spéciale au "docteur". De plus en plus fou, huit pages lui sont réservées.
Du vrai délire verbal et de situation. A ne pas mettre entre des mains sérieuses.
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Réédition 12-89
Beaucoup de texte pour un BD d'humour.
Un très bon opus.
A la limite, il devrait être lu à raison d'un gag par jour pour savourer ces moments rocambolesques créés par LE maître de la répartie. Il y a tellement à voir, à lire que l'on pourrait être repu avant la fin.
Parues pendant la grande période de Pilote, ces aventures complètement loufoques étaient attendues chaque semaine, à raison d'un gag, par les lecteurs avides.
Ainsi distillées, elle n'en avaient que beaucoup plus de saveur que réunies dans l'album.
N'empêche, c'est tout grand art. Aucun gag ne tombe à plat. Chaque finale est une véritable orgie visuelle, rocambolesque et verbale.
Et je me marre toujours autant.