T20 - Le dogue de Brocéliande
Vasco
pour 3 notes.
Aventures Historiques -
Chaillet, Gilles Couleur : Defachelle, Chantal
Edition Le Lombard - 01/11/2003
EAN : 9782803619023 | ID-BDovore : 9586
Synopsis :
1313. Tréguier, en Bretagne. À l’invocation d’Yves Hélori, un saint breton décédé en 1303, un enfançon déclaré mort revient à la vie.
1330. Tréguier. Le concile des évêques débat de la canonisation d’Hélori car d’autres miracles se sont multipliés.
1345. Guerre de Cent Ans. La ville est mise à sac par les Anglais.
1349. Pourchassés par des cavaliers anglais, trois cavaliers parviennent à se réfugier à Vitré : Vasco, Andrea Bollori –représentant de la banque Tolomeï- et Anselme –l’enfant ressuscité en 1313-, maintenant devenu « frère Anselme ».
Il a été décidé de rapatrier les reliques d’Yves Hélori de Vitré à Tréguier. La banque Tolomeï prend l’assurance en charge, Vasco étant désigné pour escorter les reliques à bon port. Le pèlerinage, composé d’un long convoi d’officiants et d’une importante frange de la population s’arrêtera à tous les lieux saints de Bretagne. Vasco émet des doutes quant à la réussite du projet. Deux groupes vont se former : l’un –l’officiel- emportant de faux ossements, l’autre –emmené par Vasco- prendra un autre trajet ; trajet qui lui fera traverser la forêt de Brocéliande où se sont réfugiés des partisans bretons menés par « le dogue », qui –plus tard- sera connu sous sa vraie identité : Bertrand du Guesclin.
Et comme l’avait prédit Vasco, ces reliques vont faire l’objets de bien des convoitises : les Anglais, les voleurs de reliques et bandits de grands chemins affûtent leurs armes…
1330. Tréguier. Le concile des évêques débat de la canonisation d’Hélori car d’autres miracles se sont multipliés.
1345. Guerre de Cent Ans. La ville est mise à sac par les Anglais.
1349. Pourchassés par des cavaliers anglais, trois cavaliers parviennent à se réfugier à Vitré : Vasco, Andrea Bollori –représentant de la banque Tolomeï- et Anselme –l’enfant ressuscité en 1313-, maintenant devenu « frère Anselme ».
Il a été décidé de rapatrier les reliques d’Yves Hélori de Vitré à Tréguier. La banque Tolomeï prend l’assurance en charge, Vasco étant désigné pour escorter les reliques à bon port. Le pèlerinage, composé d’un long convoi d’officiants et d’une importante frange de la population s’arrêtera à tous les lieux saints de Bretagne. Vasco émet des doutes quant à la réussite du projet. Deux groupes vont se former : l’un –l’officiel- emportant de faux ossements, l’autre –emmené par Vasco- prendra un autre trajet ; trajet qui lui fera traverser la forêt de Brocéliande où se sont réfugiés des partisans bretons menés par « le dogue », qui –plus tard- sera connu sous sa vraie identité : Bertrand du Guesclin.
Et comme l’avait prédit Vasco, ces reliques vont faire l’objets de bien des convoitises : les Anglais, les voleurs de reliques et bandits de grands chemins affûtent leurs armes…
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Pas mal MAIS … compliqué. J’ai lu l’album deux fois d’affilée pour bien comprendre les tenants et aboutissants de cette histoire. Chaillet a ici concocté un véritable jeu de dupes où l’on ne sait plus trop « qui est avec qui » et « qui fait quoi ». Vraies et fausses reliques, volées, vont passer d’une main à l’autre sans plus trop savoir où sont les vraies et les fausses. Chaque parti va essayer de tirer la couverture à soi ; tant du côté des Anglais, du clergé, des bretons fanatiques, des bandits que de Du Guesclin.
Pas indigeste mais… limite, car les intervenants sont nombreux et j’ai dû m’appliquer à comprendre les motivations des parties en cause dans cette sorte de grand chassé-croisé en plein 14ème siècle.
Heureusement : il y a le graphisme de Chaillet. Là, c’est –une fois de plus- du grand art. Un trait précis, très lisible, mis au service d’une documentation fouillée, m’a encore emmené « vivre » dans ce milieu de ce siècle là. De magnifiques décors et arrière-plans, un foisonnement de détails –tant dans les costumes, les tenues, les apprêts, les immeubles- m’ont encore fait m’attarder sur de nombreuses cases.
Tout ça pour : une très bonne histoire aux nombreux rebondissements, mais qui sera –je pense- difficile d’accès pour les « non initiés » de Vasco.