T1 - Lupa, la louve
Attila... mon amour
pour 5 notes.
Historique -
Mitton, Jean-Yves/
Bonnet, Frank Couleur : Zimmermann, Franck
Edition Glénat - 01/11/1998
Collection Vécu
EAN : 9782723427135 | ID-BDovore : 8821
Synopsis :
Nous somme en l’an 449 de l’ère chrétienne…
Attila et son immense horde se sont installés sur l’estuaire du Danube ; lequel fleuve marque dans cette région les limites de l’empire romain. Envoyés par l’empereur Caesar Augustus Valentianus, un tribun de Rome –Octavius Palatus- et l’évêque de Constantinople sont chargés de s’attirer les bonnes grâces du conquérant.
Ils accompagnent un énorme convoi de présents. Mais Attila n’en n’a cure et s’en moque bien, lui qui a décidé de conquérir le monde et de s’approprier tout ce qu’il contient.
Mais, parmi les présents, une cage intrigue Attila. Couverte, elle contient ce qui semble être un loup… ou quelque chose y ressemblant. Après une nuit de beuveries, le Khan décide de faire ouvrir la cage. En jaillit une jeune femme nue, aux canines acérées, couverte d’une peau de loup et qui ne sait se déplacer qu’à quatre pattes. Cette « chose » est pourtant une jeune fille occidentale qu’accompagne son « dresseur » le géant Guddur. Elle est connue sous le nom de Lupa…
Qui est cette personne qu’Attila ne sait mater ?… Pourquoi a-t-elle été offerte au Khan ?… Est-elle une victime… ou une espionne ?… Pourquoi son comportement ?… Quel est donc son secret pour qu’Attila en éprouve très rapidement une rude et fougueuse attirance ?…
Attila et son immense horde se sont installés sur l’estuaire du Danube ; lequel fleuve marque dans cette région les limites de l’empire romain. Envoyés par l’empereur Caesar Augustus Valentianus, un tribun de Rome –Octavius Palatus- et l’évêque de Constantinople sont chargés de s’attirer les bonnes grâces du conquérant.
Ils accompagnent un énorme convoi de présents. Mais Attila n’en n’a cure et s’en moque bien, lui qui a décidé de conquérir le monde et de s’approprier tout ce qu’il contient.
Mais, parmi les présents, une cage intrigue Attila. Couverte, elle contient ce qui semble être un loup… ou quelque chose y ressemblant. Après une nuit de beuveries, le Khan décide de faire ouvrir la cage. En jaillit une jeune femme nue, aux canines acérées, couverte d’une peau de loup et qui ne sait se déplacer qu’à quatre pattes. Cette « chose » est pourtant une jeune fille occidentale qu’accompagne son « dresseur » le géant Guddur. Elle est connue sous le nom de Lupa…
Qui est cette personne qu’Attila ne sait mater ?… Pourquoi a-t-elle été offerte au Khan ?… Est-elle une victime… ou une espionne ?… Pourquoi son comportement ?… Quel est donc son secret pour qu’Attila en éprouve très rapidement une rude et fougueuse attirance ?…
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Une bien bonne histoire. Et un bien bon album.
D’abord la période scénarisée : le milieu du premier millénaire avec ses invasions qui bousculent l’hégémonie de l’empire romain déjà chancelant. Ce ne sont plus les grandes batailles qui vont décider du sort d’une contrée, d’un pays, d’un empire même… mais l’argent et les présents que l’on offre pour retarder… l’inéluctable.
Attila ?… mon dernier souvenir est une histoire de « Timour » (Le fléau de Dieu). C’est vous dire !…
Mais ici Mitton, dans un bon scénario, présente ce personnage sous un aspect nouveau : Attila n’était en réalité pas une brute épaisse comme souvent présenté, mais quelqu’un qui –hors ses velléités guerrières- était un grand tacticien, politique et –dans sa façon de vivre- assez raffiné.
La bonne idée ?… l’avoir fait rencontrer « La Lupa », une Romaine dont on ne saura qui elle est réellement que dans le 3ème tome. Et cette jeune femme, qui hait Rome de toutes ses forces, va devenir la conseillère principale du Hun.
Le dessin ?… quelques défauts dans ce premier tome. Si le graphisme d’ensemble, réaliste, est bien exécuté, des personnages principaux souffrent d’approximations quant à certaines proportions du corps, sont parfois monolithiques dans leurs expressions. Mais le dessin ne fera que s’améliorer.
Bien apprécié également la reconstitution d‘époque assez minutieuse et où, surtout, les personnages sont « sales », dépravés, « rugueux » »… comme ils l’étaient en ce temps-là.
Un bien bon premier tome.