©Casterman/Martin, Jacques
T22 - La chute d'Icare
Alix
pour 9 notes.
Aventures Historiques -
Martin, Jacques -
Moralès, Rafael/
Moralès, Rafael -
Moralès, Rafael Couleur : Cégé
Edition
EAN : 9782203312227 | ID-BDovore : 8809
Synopsis :
Réputée pour sa richesse, l'île d'Icarios attire tous les commerçants de la mer Égée qui trouvent dans son port un abri sûr et même des ateliers de construction navale qui se sont encore développés depuis la conquête romaine.
La ville est fameuse aussi pour son extraordinaire rocher d'où une légende bien ancrée prétend que le héros Icare s'est envolé, cela malgré les dénégations des Crétois.
Mais l'essentiel de sa fortune vient surtout du sanctuaire d'Asclépios, le dieu guérisseur, qui concurrence rudement le site d'Épidaure, après tout si loin des Cyclades.
Depuis bien des années, la statue du héros, le fabuleux Icare, domine le port et paraît toujours vouloir décoller vers un extraordinaire destin.
Enfin la cité est fière de ses remparts incomparables que les Romains ont occupés sans coup férir et où ils entretiennent depuis lors une petite garnison, aidés par quelques mercenaires grecs. Au loin, dans le fort qui domine l'ensemble, réside un légat de Rome qui paraît plus débonnaire que belliqueux.
Et puis il y a les négociants, tous plus opulents les uns que les autres… Et un soir, chez l'un d'eux…
(Suite dans l'Album…)
La ville est fameuse aussi pour son extraordinaire rocher d'où une légende bien ancrée prétend que le héros Icare s'est envolé, cela malgré les dénégations des Crétois.
Mais l'essentiel de sa fortune vient surtout du sanctuaire d'Asclépios, le dieu guérisseur, qui concurrence rudement le site d'Épidaure, après tout si loin des Cyclades.
Depuis bien des années, la statue du héros, le fabuleux Icare, domine le port et paraît toujours vouloir décoller vers un extraordinaire destin.
Enfin la cité est fière de ses remparts incomparables que les Romains ont occupés sans coup férir et où ils entretiennent depuis lors une petite garnison, aidés par quelques mercenaires grecs. Au loin, dans le fort qui domine l'ensemble, réside un légat de Rome qui paraît plus débonnaire que belliqueux.
Et puis il y a les négociants, tous plus opulents les uns que les autres… Et un soir, chez l'un d'eux…
(Suite dans l'Album…)
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Un album de, ma foi, très bonne facture.
La mise en place des personnages et des éléments de l'intrigue effectuée, on entre directement dans le vif du sujet.
Ca barde, pour ainsi dire, à chaque page. Martin et Moralès nous ont concocté de magnifiques scènes d'assauts divers, de combats sans merci, d'attaques foudroyantes, de corps à corps sanglants. Pied après pied, rue après rue, Icarios va subir les massacres et pillages usuels. Rien ne sera épargné. Riches ou pauvres, les habitants vont être rapidement pris dans une tenaille de fer et de feu.
Le scénario est simple, mais heureusement magnifié par une mise en scène de haut niveau. Visuellement, c'est très beau, prenant même. Graphiquement en effet, certaines scènes de combats sont parmi les plus belles réalisées par ce diable de Martin. Flopée de détails aussi, tant vestimentaires, architecturaux que relatifs au modus vivendi de l'époque.
Un très bel et bon opus tiré d'une histoire simple, plein de fougue guerrière, qui laisse comme une trace de feu après l'avoir terminé. Un de mes préférés.
dommage que martin n'est pas trouvé mieux que ce déssinateur moyen.
les déssins sont figés et rappellent les premier alix de martin.