T16 - La fureur sombre
Jugurtha
pour 1 notes.
Historique -
Vernal, Jean-Luc/
Suro, Michel Couleur : Sirvent, Alain
Edition Soleil Productions - 01/07/1995
EAN : 9782877643078 | ID-BDovore : 1261
Synopsis :
Acte 1. (9 pages).
Le haut d’une montagne. La neige. Le froid… Jugurtha et Vania… Ils discutent. Vania se met nue. Ils continuent de discuter.
Acte 2. (9 pages).
La plaine. Nos amis doivent traverser un pont. Ils rencontrent une enfant que Jugurtha prend par la main pour traverser. Quelle enfant ?… Vania ne voit personne. Ils arrivent à une oasis. Et discutent…
Acte 3 . (9 pages).
La montagne. Nos amis se déplacent péniblement le long d’une corniche. Une pierre noire traverse le corps de Jugurtha et est attrapée par cette « enfant ». Nos amis sont dans une plaine. Ils discourent sur les âmes…
Acte 4. (7 pages).
Vania rejoint Jugurtha dont le dos est heurté par des pierres. Il tombe, se relève et voit devant lui une énorme et haute pierre noire taillée. Il est attaqué par un minotaure. Il le tue. Du moins le croit-il. La bête se relève et, par borborygmes, lui montre Vania prisonnière de la pierre. Nouveau combat avec le minotaure.
Acte 5. (6 pages)
Jugurtha entre dans la pierre pour libérer sa compagne. C’est le corps d’une femme noire, une guerrière, qui se transforme en la jeune enfant croisée sur le pont. Celle-ci, devenue serpent, se transforme en une belle jeune fille et…
Le haut d’une montagne. La neige. Le froid… Jugurtha et Vania… Ils discutent. Vania se met nue. Ils continuent de discuter.
Acte 2. (9 pages).
La plaine. Nos amis doivent traverser un pont. Ils rencontrent une enfant que Jugurtha prend par la main pour traverser. Quelle enfant ?… Vania ne voit personne. Ils arrivent à une oasis. Et discutent…
Acte 3 . (9 pages).
La montagne. Nos amis se déplacent péniblement le long d’une corniche. Une pierre noire traverse le corps de Jugurtha et est attrapée par cette « enfant ». Nos amis sont dans une plaine. Ils discourent sur les âmes…
Acte 4. (7 pages).
Vania rejoint Jugurtha dont le dos est heurté par des pierres. Il tombe, se relève et voit devant lui une énorme et haute pierre noire taillée. Il est attaqué par un minotaure. Il le tue. Du moins le croit-il. La bête se relève et, par borborygmes, lui montre Vania prisonnière de la pierre. Nouveau combat avec le minotaure.
Acte 5. (6 pages)
Jugurtha entre dans la pierre pour libérer sa compagne. C’est le corps d’une femme noire, une guerrière, qui se transforme en la jeune enfant croisée sur le pont. Celle-ci, devenue serpent, se transforme en une belle jeune fille et…
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Trois fois… Trois fois, je vous jure, que j’ai essayé de lire et comprendre cette histoire (?). Je n’y suis pas parvenu. Pourtant, je suis un bon lecteur, mais ici : rien à faire.
Tic-tac… tic-tac a fait le réveil pendant mes lectures…
Toc toc toc… a fait l’index droit de l’Ymagier en se tapant le front…
Faut quand même pas prendre les lecteurs pour des cons mais c’est vraiment ce que j’ai ressenti. Un album où l’on parle, où l’on parle même beaucoup : on soliloque, on s’échange des états d’âme, on émet des considérations philosophiques du genre :
«L’âme de la pierre, comme l’âme des hommes et des femmes est une éponge dans la mer… elle absorbe les flux et les reflux. Une âme est totalement immergée dans la mer des hommes qui l’entoure… si elle devient noire c’est qu’elle est environnée de fureur sombre… »
Même Jean-Claude Van Damme est plus compréhensible !..
Je ne sais dans quel état se trouvait Vernal lorsqu’il a imaginé et scénarisé cette histoire mais, nom di dju, c’est de la BD ; et non pas l’imaginaire d’un vérisme jupitérien où personne ne se retrouve (euh… moi non plus, je ne sais ce que j’écris !…)
Le dessin ?… J’aime bien Michel Suro. Il y va ici d’un trait réaliste qui met bien en valeur ses personnages. Le découpage est joli et l’ensemble graphisme + colorisation est réussi.
Tout ça pour ?… une histoire imbuvable, pour laquelle je n’ai absolument ressenti aucun attrait. Un album que je classe sans hésiter parmi les 5 plus mauvaises BD jamais lues de ma part.
Le pire : vérifié, cette BD est cotée 15 Euro, alors que nombre d’albums précédents –signés Vernal et Franz- n’en valent que 12. Allez comprendre !… Moi, je n’essaye même plus.
A oublier. Moi, c’est déjà fait…