T6 - Sept yakuzas
Sept
pour 19 notes.
Aventure -
Morvan, Jean-David/
Takahashi, Hikaru Couleur : Peng, Wang
Edition Delcourt - 24/09/2008
Collection Conquistador
EAN : 9782756008769 | ID-BDovore : 55054
Synopsis :
Tokyo, de nos jours. Kotobuki Ichiro, 92 ans, chef d'un clan yakuza craint et respecté, fait l'objet d'une tentative de meurtre lors de la grande fête populaire. Le vieil homme ne doit la vie sauve qu'au sacrifice de sa garde rapprochée et à son étonnante vivacité. Recueilli par un ancien ami, Ichiro prépare une vengeance dans laquelle il entraînera six hommes, pour un effroyable ballet de mort et de sang...
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Un très bon moment !
Une belle intrigue (avec un dénouement un poil trop accéléré), des personnages drôles et noirs, tout ce qu’on aime.
On en souhaiterait presque un spin of sur l’ascension de ce chef Yakuza !
Un des meilleurs album de la collection;
Je n'aime pas les histoires de yakusas.
Oui, il fallait bien que je commence par l'avis le plus subjectif de ce commentaire si je voulais expliquer que ce tome n'obtienne "qu'un" 8... Car il vaut plus.
Je déplorais sur les précédents que les personnages ne soient pas plus appronfondis et il semblerait que Morvan m'ait entendu. Je n'aurais pas imaginé que le créateur de Navis et de son monde SF soit capable d'écrire une histoire aussi riche avec un background aussi profond!
On tourne les pages avec plaisir pour terminer sur un final gore au possible et très surprenant.
Les planches de Takahashi nes ont pas d'une beautée à faire pleurer mais on sent bien l'inspiration et l'ambiance y est parfaitement retranscrite.
Bravo.
L'un des meilleurs 7 de la série, une intrigue intéressante servie par le talentueux Jean-David Morvan (Sillage en autre) et un dessin très japonisant d'un auteur local. Malheureusement ce tome est quand même très sanguinolent.
Houlààà… violent que tout ceci !…Faut dire qu’avec les Yakuzas, ça ne rigole pas !
J’ai eu affaire à un bien bon album qui est l’osmose réussie de deux choses : celle d’un scénariste passionné de la culture asiatique et celle d’un dessinateur japonais.
Japonais ?… non, ceci n’est pas un manga. Takahashi y va d’un très beau trait réaliste, minutieux, pointilleux même dans la conception de ses personnages et décors.
L’histoire générale est pourtant simple : celle d’un règlement de comptes. Seulement voilà : c’est très costaud autant que sanglant. Je n’ai pas boudé mon plaisir à la lecture de cette « mini » fresque et ai vraiment apprécié cette montée de la violence qui, page après page, tient vraiment l’œil et l’esprit en éveil.
Une bonne histoire –simple quand même, un très bon style graphique « à l’européenne » et –je tiens à le mentionner- une colorisation de Wang Peng, un jeune chinois qui sait ce que « mettre en couleurs » veut dire.
Histoire+dessin+couleurs : trois voies diverses d’un travail de BD ici réunies dans une très bonne suite de « Sept ».