T1 - Taïga rouge, première partie
Taïga rouge
pour 3 notes.
Aventure -
Malherbe, Arnaud/
Perriot, Vincent Couleur : Ruby
Edition
Collection Aire Libre
EAN : 9782800141664 | ID-BDovore : 53478
Synopsis :
Nous sommes en 1920… Perdu en Transbaïkalie, Ferdynand Ossendowski fuit les troupes bolcheviques et le peloton d’exécution qui l’attend. Sa fuite éperdue l’emmène de la Sibérie aux steppes de l’ancien empire mongol.
En ces heures noires, la terre se gorge du sang des Russes rouges et blancs (tsaristes), des Cosaques, des Chinois et autres peuples de l’Est qui s’entretuent. Fuir les hommes c’est bien , mais il faut également lutter contre la faim tenace, le froid intense et les loups qui vous suivent pour vous dévorer. Mais c’est souvent dans ces moments ultimes que l’on est –momentanément- sauvé ce sera le cas par l’intervention de Djam Gordou.
Sauvé -mais pour combien de temps ?- Ferdynand va aussi faire une autre rencontre, celle de Ungern von Sternberg. Pas n’importe qui cet Ungern : il est baron mais également chef de guerre d’une faction contre-révolutionnaire. Qui plus est le comportement de cet homme semble à Ferdynand complètement fou : par ses actions, il entend recréer la grande horde de Gengis Khan et fonder un empire…
Proposé par - LYMmagier -
En ces heures noires, la terre se gorge du sang des Russes rouges et blancs (tsaristes), des Cosaques, des Chinois et autres peuples de l’Est qui s’entretuent. Fuir les hommes c’est bien , mais il faut également lutter contre la faim tenace, le froid intense et les loups qui vous suivent pour vous dévorer. Mais c’est souvent dans ces moments ultimes que l’on est –momentanément- sauvé ce sera le cas par l’intervention de Djam Gordou.
Sauvé -mais pour combien de temps ?- Ferdynand va aussi faire une autre rencontre, celle de Ungern von Sternberg. Pas n’importe qui cet Ungern : il est baron mais également chef de guerre d’une faction contre-révolutionnaire. Qui plus est le comportement de cet homme semble à Ferdynand complètement fou : par ses actions, il entend recréer la grande horde de Gengis Khan et fonder un empire…
Proposé par - LYMmagier -
Une erreur sur cette fiche ou votre édition est différente ? Vous pouvez proposer une correction ou proposer l'ajout d'une autre édition
(pour votre utilisation personnelle)
Futur achat : Date d'achat : (dd/mm/aaaa) Prix/cote : |
E.O : Dédicace : Cadeau : Lu : Ed. numérique : |
Prêt : Dernier emprunteur : Email : |
Remarque personnelle (état, mémo, ...) : |
* : Avis de lecture qui apparaîtra pour tous les visiteurs sur le site
Taïga Rouge, un titre peu vendeur...Cependant, tournez la première page et prenez le train de l'aventure a cheval... Cela sent très bon la série culte et certainement un nouveau genre: le western de l'est; on devrait dire l'Eastern. Niveau dessin : impecable, même dans ses maladresses. Je note 9, pour confirmer le tome 2 avec un 10.
Hé ben ! Un voilà un chouette album ! « Taïga rouge » ?… c’est comme une sorte de grand road-movie à cheval à travers des régions d’Asie. Une très bonne association de deux jeunes auteurs que j’avoue ne pas connaître.
Au scénario, Malherbe a « pondu » une bonne histoire mettant en scène une période des pays de l’Est peu utilisée en BD. D’où : attrait. Mais l’histoire est SURTOUT portée par le graphisme de Perriot. Bon, pour avoir lu des BDs pendant plus de 40 ans, j’ai trouvé ci et là quelques très rares imperfections au niveau des personnages MAIS si nombre de dessinateurs reconnus avaient déjà eu le style de cet auteur à leurs débuts, nous n’aurions plus que des « Michel-Ange de la BD » après quelques années.
Perriot ?… j’aime bien car ses personnages « vivent » sur papier. Qui une attitude, qui un regard ; tout est fait avec une véritable finesse du trait ET, ce qui ne gâte rien, ce dessinateur gâte autant ses personnages secondaires que principaux. Le dessin, c’est aussi une ou des ambiances. Et de ce côté là, j’ai parfois eu l’impression d’accompagner Ferdynand dans sa fuite, de chevaucher dans les steppes. Tout bon.
Un plus certain également : la colorisation due à Ruby. La palette de couleurs a ici des tonalités assez particulières qui donnent une réalisme parfois surprenant à certaines cases.
« Taïga rouge » ?… c’est comme un bon film hollywoodien qui se déroule devant vous sur papier ; un heureux mélange de Docteur Jivago et de Michel Strogof (celui avec Curd Jurgens). Un album au dynamisme certain annonciateur d’une –normalement- bien belle série.