T1 - La ville
New York trilogie
pour 2 notes.
Romans Graphiques -
Eisner, William Erwin Couleur : <n&b>
Edition
Collection Contrebande
EAN : 9782756009513 | ID-BDovore : 50303
Synopsis :
Muets ou diserts, instantanés ou développés en plusieurs planches, les portraits que dresse Will Eisner dans New York Trilogie révèlent toute la finesse et l'intelligence de ce grand maître de la bande dessinée contemporaine. Enseignant à l'École des arts visuels de New York lorsqu'il réalise cette trilogie, Eisner nous permet de profiter d'une belle leçon d'observation et de saisir au passage ce que la "Grosse Pomme" recèle de plus attachant.
Une erreur sur cette fiche ou votre édition est différente ? Vous pouvez proposer une correction ou proposer l'ajout d'une autre édition
(pour votre utilisation personnelle)
Futur achat : Date d'achat : (dd/mm/aaaa) Prix/cote : |
E.O : Dédicace : Cadeau : Lu : Ed. numérique : |
Prêt : Dernier emprunteur : Email : |
Remarque personnelle (état, mémo, ...) : |
* : Avis de lecture qui apparaîtra pour tous les visiteurs sur le site
Je n'ai pas acheté New York Trilogie pour l'apprécier, mais pour découvrir Will Eisner. Moi l'indécrottable rural ne pouvait être plus qu'intéressé par ces petites histoires centrées sur la ville ..
Et pourtant j'ai été sérieusement emballé. Il se dégage un je ne sais quoi .. Mais je ne peux pas l'expliquer, je ne peux que conseiller de laisser sa chance à Will Eisner.
Pas mal du tout... mais faut aimer. J’ai plongé dans un New York d’il y a quelques dizaines d’années et suis entré dans des tranches de vie évoquées au fil des pages. Je me suis promené dans une société faite de tous styles, de toutes races ; une société assez exubérante qui est un véritable mélange de diverses « saveurs ».
Avec Eisner j’ai rencontré des gens, des caractères, des situations ; suivant les pas de l’auteur dans une sorte d’album souvenir rempli d’émotions diverses toutes en simplicité. Je me suis plu à revoir ce graphisme directement reconnaissable qui, en quelques traits qui paraissent simples, vous décortique les états d’âmes d’une personne, ses mimiques et gestuelle.
Ca paraît si simple avec Eisner mais l’ensemble est la résultante d’un travail minutieux, précis, communicatif. New York est la ville qui l’a vu naître. Et il l’aime « sa » ville, avec intelligence et amour.
Faut-il avoir connu ou connaître New York –ce n’est pas mon cas- pour apprécier ?.. je ne sais. Toujours est-il que la vision qu’Eisner m’en a donnée ne m’a pas laissé indifférent.