T11 - Le dieu dans le sarcophage
Conan le Cimmérien
Edition Glénat - 27/01/2021
EAN : 9782344038574 | ID-BDovore : 341188
Profitant d’une discrétion que seule la nuit permet d’offrir, Conan s’infiltre dans un somptueux palais pour y subtiliser une coupe représentant un rapide enrichissement. Aussi discret qu’un félin, il ne se fait repérer par le garde Arus que parce qu’il croit reconnaitre en lui un camarade malfaiteur. Sans le savoir, Conan vient de se présenter comme le coupable idéal pour le meurtre de Kallian Publico, le riche et détesté propriétaire du temple dans lequel il est venu voler...
source: éditeur
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Bon, franchement cet album est le moins bon de la série, certes le dessin est original, mais alors Conan est massacré on dirait un rasta pre-pubère !! J’en ris encore ! le scénario lui est au bon niveau.
Encore une fois on retrouve ce que j’avais mentionné dans une autre critique de cette série c’est le côté inégal de celle-ci , avoir confié à plusieurs couple de dessinateurs et scénariste empêche ceux-ci de vraiment s’approprier le personnage, ici c’est flagrant.
Toujours un cahier de Louinet inclus, là il pete les plombs, le traducteur qu’il est voit à travers cette nouvelle d’Howard comme une allégorie de l’oppression policière contre les afro-américains et Conan comme un « basané » (je le cite), complétement ridicule, Howard est un Texan ami de Lovecraft, tous deux ont une piètre opinion des africains, cela est connu il suffit de lire leurs ouvrages, ce n’est pas bien mais c’est le contexte de l’époque, Conan lui est issue d’une peuplade de barbares nordiques (les cimmériens), sa peau est brulé par le soleil passé dans les contrés du sud… Vouloir réécrire l’histoire pour faire moderne c’est idiot et Orwelien, Louinet travaille beaucoup pour faire connaitre Conan et c’est bien par contre au même titre que ce qu’il reproche à Sprague de Camp et L Carter il est lui aussi à sa manière aussi un pasticheur.
Vous l’aurez compris ce tome vous pouvez passer à coté