©Dargaud/Charlier, Jean-Michel
T16 - La captive des Mores
Barbe-Rouge
pour 2 notes.
Aventure -
Charlier, Jean-Michel/
Hubinon, Victor Edition
ID-BDovore : 4479
Synopsis :
Emprisonné dans la forteresse de Mantoue, Eric doit être exécuté sur ordre du baron Spada. Sur la route de Mantoue, Ruggieri, l’âme damnée de Spada, est intercepté par Baba et Triple-Pattes, les amis d’Eric. Ils s’emparent d’un blanc-seing dont il est porteur, le ligotent au fond d’un puit. Muni du document ils parviennent à libérer le fils de Barbe-Rouge et, ensemble, se rendent au palais ducal. Toujours munis du précieux document, ils parviennent à rencontrer le vieux duc et à le mettre au courant du complot et de la captivité de Caroline, son unique héritière. Spada, qui loge également au palais, « joue » l’innocent car seul Ruggieri serait le fomenteur de l’affaire. Arrive ce dernier, qui a su se libérer. Confondu il se laisse arrêter et emprisonner dans les geôles de la forteresse.
La nuit, la prison explose, tuant tous ses occupants. Manœuvre ourdie par Spada, Ruggieri a su s’échapper et reçoit à nouveau mission de liquider Caroline de Muratore. Ce par tous les moyens. Nos amis eux, décident de la libérer. Tous vont prendre, à des degrés divers, la route d’Alger. Eric et ses hommes, eux, vont bénéficier du nouveau « Faucon Noir » amené par Barbe-Rouge. Le navire appareille bientôt.
Ruggieri, lui, a pris des contacts avec des barbaresques. Le but ?… empêcher par tous les moyens la poursuite du voyage du Faucon Noir. Barbe-Rouge, Eric et leurs hommes découvriront-ils à temps le guet-apens qui les attend ?… échapperont-ils à la capture et au massacre annoncés ?… retrouveront-ils la belle captive en route vers le harem du Grand Turc ?…
La nuit, la prison explose, tuant tous ses occupants. Manœuvre ourdie par Spada, Ruggieri a su s’échapper et reçoit à nouveau mission de liquider Caroline de Muratore. Ce par tous les moyens. Nos amis eux, décident de la libérer. Tous vont prendre, à des degrés divers, la route d’Alger. Eric et ses hommes, eux, vont bénéficier du nouveau « Faucon Noir » amené par Barbe-Rouge. Le navire appareille bientôt.
Ruggieri, lui, a pris des contacts avec des barbaresques. Le but ?… empêcher par tous les moyens la poursuite du voyage du Faucon Noir. Barbe-Rouge, Eric et leurs hommes découvriront-ils à temps le guet-apens qui les attend ?… échapperont-ils à la capture et au massacre annoncés ?… retrouveront-ils la belle captive en route vers le harem du Grand Turc ?…
Une erreur sur cette fiche ou votre édition est différente ? Vous pouvez proposer une correction ou proposer l'ajout d'une autre édition
(pour votre utilisation personnelle)
| Futur achat : Date d'achat : (dd/mm/aaaa) Prix/cote : |
| E.O : Dédicace : Cadeau : Lu : Ed. numérique : |
| Prêt : Dernier emprunteur : Email : |
| Remarque personnelle (état, mémo, ...) : |
* : Avis de lecture qui apparaîtra pour tous les visiteurs sur le site
Encore un bon tome du tandem Charlier-Hubinon. Néanmoins, j’ai eu affaire à une sorte « d’album-relais ». L’action principale se passe à Mantoue, tant dans la forteresse que dans le palais ducal. C’est vrai, les rebondissements sont nombreux mais sont surtout explicatifs ; et ce jusqu’aux deux tiers du livre. Emprisonnement, libération, trahisons, explosions et quelques duels parsèment ainsi l’histoire. Ce n’est qu’à partir de la page 30 qu’on prend le large pour enfin retomber dans ce qu’est cette histoire : une histoire des pirates des mers.
Néanmoins, même si le narratif –aisément compréhensible d’ailleurs- des 30 premières pages est assez longuet, il est quand même fort constructif et augure d’une suite palpitante.
Le dessin ?… toujours aussi réaliste et précis de la part de Hubinon. Les longs moments explicatifs sont néanmoins agréables de lecture de la façon dont la mise en page est agencée. Mais dès qu’il prend, lui aussi, « l’air », on est reparti de plus belle sous les vents.
Je n’écrirai pas que cet album est en demi-teinte car il ne m’a pas déçu MAIS j’ai ressenti comme une grande pièce de théâtre –un seul lieu quasiment- sur ses deux tiers ; et cela pourrait être un tantinet rébarbatif pour une certaine catégorie de lecteurs. Un bien bon album néanmoins.