©Glénat/Chaillet, Gilles
T3 - Sous le signe de Ba'al
La dernière prophétie
pour 1 notes.
Fantastique-Etrange -
Chaillet, Gilles Couleur : Defachelle, Chantal
Edition Glénat - 01/11/2004
Collection La Loge Noire
EAN : 9782723444873 | ID-BDovore : 29112
Synopsis :
Flavien a accepté de traverser le monde des morts pour découvrir la vérité sur la dernière des Sept Prophéties. Les Sibyllins lui content l'histoire de l'aérolithe sacré nommé le Ba'al d'Emèse. Cette météorite tombée du ciel fut considérée comme un morceau de Soleil et devint l'égal d'un dieu. Il rayonna d'abord sur toute la Syrie, puis bientôt sur le monde. En son nom, des enfants sont enlevés pour être livrés en sacrifice
Ce troisième tome débute lors de l'assaut des prétoriens, quand la IIIème légion perd pied devant Raphaneae où les affrontements entre le terrible Héliogabale et Auguste César ne vont que redoubler de violence et de barbarie
Ce troisième tome débute lors de l'assaut des prétoriens, quand la IIIème légion perd pied devant Raphaneae où les affrontements entre le terrible Héliogabale et Auguste César ne vont que redoubler de violence et de barbarie
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Dur dur de comprendre. Si vous n’avez pas lu le premier tome ET le résumé de la présente histoire qui se trouve au dos du volume, vous allez sûrement vous poser la question de savoir où Chaillet a voulu –ou veut- vous emmener. Hé oui, on est ici tout à fait à l’opposé de Vasco.
Le scénario ?… le christianisme a supplanté les anciens dieux romains. Ces derniers ont choisi un homme –Flavien- pour sauver leur culte et lui ont donné la possibilité de voyager dans le passé. Flavien part donc au début du règne de Héliogabale pour ensuite faire rapport de ce qu’il a constaté.
Et même en connaissant le postulat développé par Chaillet, j’avoue m’y être repris à plusieurs fois, avoir effectué des retours en arrière pour bien m’imprégner des personnages et des développements de l’histoire. Lecture ardue, oui, mais enrichissante car j’ai appris pas mal de choses sur ce fou sanguinaire qu’était Héliogabale.
Heureusement, il y a le dessin. C’est du Chaillet : un style réaliste fort reconnaissable, précis, un trait méticuleux, minutieux MAIS dans une mise en page parfois déroutante. Un tome à part d’une série à part. Parfois « tordu » et ardu de lecture, mais enrichissant.