©Hachette/Arleston, Christophe
T8 - Rock'n'troll attitude
Trolls de Troy
pour 26 notes.
Héroic - Fantasy -
Arleston, Christophe/
Mourier, Jean-Louis Couleur : Guth, Claude
Edition
Collection la collection
ID-BDovore : 30213
Synopsis :
Un groupe de rock troll arrive au village de Phalompe, déchaînant une hystérie chez toutes les jeunes filles, surtout Waha. Celle-ci est prête à tout pour le beau chanteur, Ynghstön, et Pröfy va devoir se battre pour reconquérir sa belle. D'autant que le groupe ne semble pas être simplement là pour distraire les foules...
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Au programmes, calembours et gore joyeux. Comme d'habitude, quoi.
Vu le titre et la couverture, je m'attendais à du mauvais mais on a droit à une aventure amusante. Le contrat est rempli, même si on est loin des promesses du premier cycle.
Le monde des Trolls de Troy mériterait à avoir de plus grands fils conducteurs entre ses albums, même en gardant une structure en un album, une histoire complète.
Une édition sortie pour la fête de la musique...
Bonne idée, d'autant que voir des Rolling Stones en Trolls vaut le détour.
En terme de marketing, il est toujours assez attractif de se lancer dans des séries dérivées, ces fameuses "spin-off" dont la télé se gave. Mais la bande dessinée est parfois -elle aussi- touchée par ce virus.
Trolls de Troy est une des petites soeurs de la série Lanfeust de Troy, un énorme succès d'heroic-fantasy de ces dernières années. Dès le début, les lecteurs ont raffolé de ses héros, délicieux géants mangeurs d'hommes, paillards et ivrognes aux dialogues et jeux de mots impossibles.
Dans ce tome 8, l'irruption d'un groupe de rock troll dans le village de Phalompe a beau alimenter un humour fort référencé, elle ne permet pas à la série de retrouver la verve des premiers épisodes. L'histoire ne semble faite que pour nourrir les quelques gags qui émaillent l'album.
Faudra peut-être que les Trolls varient un jour leur alimentation : l'humain à tous les repas, ça finit par taper sur le foie et devenir... très indigeste.
Je mets "5" : pour le dessin...
Plus que moyen, une fois de plus Arleston joue avec les "anachronismes" je trouve que ça n'apporte rien au monde de Troy.
Par petite touche cela peut donner des éléments intéressants, mais ce tome est quasi exclusivement basé sur I-pod et autres éléments de la vraie vie tourné en dérision.
Perso je ne suis pas client.