Le goût de la terre
Le goût de la terre
pour 1 notes.
Autobiographie, Autofiction -
Troub's/
Baudoin, Edmond Couleur : <n&b>
Edition L'Association - 14/11/2013
Collection Ciboulette
EAN : 9782844144911 | ID-BDovore : 170229
Synopsis :
Après Viva la vida, Baudoin et Troubs réalisent ici leur second carnet de voyage à quatre mains.
Invités par deux sociologues colombiens impressionnés par la force et l'humanité de leur reportage à Ciudad Juarez, ils se rendent cette fois en Colombie à Bogota (en février et mars 2013). Pour rencontrer les gens, ils échangent leur portrait contre le récit d'un souvenir.
Ils arrivent à Bogota avec ces interrogations : Qui sont les paysans ? Quel est le goût de leur terre ? Et découvrent avec stupeur les séquestrations, les déplacements de populations, la violence de la police et l'implication des guérilleros dans les structures locales. Baudoin et Troubs portent la même attention, aux simples paysans, qu'aux FARC avec qui ils discutent longuement. En filigrane, le lien entre Viva la vida, qui racontait la violence quotidienne de la ville mexicaine de Ciudad Juarez, et Le goût de la terre, qui s'attache à la destruction de la vie paysanne en Colombie, ce sont les Etats-Unis et la coca. Cause de tous les affrontements entre narcotrafiquants au Mexique, la coca est la seule chose qu'un paysan cultive, peut cultiver et vendre, dans un état de guerre civile permanente. De cette expérience, Baudoin et Troubs nous offrent un récit très riche en rencontres humaines et en réflexions politiques.
source: éditeur
Invités par deux sociologues colombiens impressionnés par la force et l'humanité de leur reportage à Ciudad Juarez, ils se rendent cette fois en Colombie à Bogota (en février et mars 2013). Pour rencontrer les gens, ils échangent leur portrait contre le récit d'un souvenir.
Ils arrivent à Bogota avec ces interrogations : Qui sont les paysans ? Quel est le goût de leur terre ? Et découvrent avec stupeur les séquestrations, les déplacements de populations, la violence de la police et l'implication des guérilleros dans les structures locales. Baudoin et Troubs portent la même attention, aux simples paysans, qu'aux FARC avec qui ils discutent longuement. En filigrane, le lien entre Viva la vida, qui racontait la violence quotidienne de la ville mexicaine de Ciudad Juarez, et Le goût de la terre, qui s'attache à la destruction de la vie paysanne en Colombie, ce sont les Etats-Unis et la coca. Cause de tous les affrontements entre narcotrafiquants au Mexique, la coca est la seule chose qu'un paysan cultive, peut cultiver et vendre, dans un état de guerre civile permanente. De cette expérience, Baudoin et Troubs nous offrent un récit très riche en rencontres humaines et en réflexions politiques.
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