©Erasme/Vandersteen, Willy
T76 - Ajax le dobberman
Bessy (Editions Erasme)
pour 1 notes.
Western -
Vandersteen, Willy Edition Erasme - 01/01/1971
EAN : 9789002004001 | ID-BDovore : 207
Synopsis :
Andy campe dans une région montagneuse lorsqu’il se fait attaquer et dérober son cheval par deux hors-la-loi : Orson le Balafré et Benny the Kid. Cherchant de l’aide dans cette région inconnue, lui et Bessy sont surveillés à distance par un doberman. Andy parti cherche de l’eau à une rivière proche, Bessy se fait attaquer par des chats sauvages. Elle ne doit son salut qu’à l’intervention armée d’une jeune femme- Lisbeth Bradford- fille d’un chercheur d’or établi dans la région. Andy revenu, narrant sa mésaventure, il constate que Lisbeth semble fort troublée. Tous partent chez Mike, le père, où arrive bientôt Wilbur Goss, un « ranger » à la poursuite des bandits.
Partie dans les environs, Bessy aide le doberman à se débarrasser d’une longue épine qui lui a traversé une patte. Une amitié inné s’installe entre les deux chiens. La bête inconnue a-t-elle quelque chose à voir avec les deux repris de justice ?… c’est ce que croit Gross qui décide de pister l’animal. Mais lu
Partie dans les environs, Bessy aide le doberman à se débarrasser d’une longue épine qui lui a traversé une patte. Une amitié inné s’installe entre les deux chiens. La bête inconnue a-t-elle quelque chose à voir avec les deux repris de justice ?… c’est ce que croit Gross qui décide de pister l’animal. Mais lu
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Un bon scénario. Une histoire bien tournée qui va de rebondissements en rebondissements, faisant intervenir encore d’autres « acteurs » et où –chose rare dans un Bessy- le sang coule (même Andy est blessé par un coup de feu !…). Le final, d’ailleurs, est surprenant et –à vrai dire- inattendu. Bien fait que tout cel.
Le dessin ?… pas mal aussi. Toujours réalisé par un inconnu du studio Vandersteen, j’ai ici apprécié un trait réaliste, net, bien lisible et mis au service de cases souvent remplies de détails MAIS malheureusement cloisonnées dans une mise en page fort peu attractive (quatre strips de deux ou trois case par page).
Néanmoins les retournements de situations –nombreux- sont bien amenés, la lecture agréable, et l’ensemble forme un bon album qui aurait pu tenir une quarantaine de pages. Bon scénario. Bon dessin. Bonne colorisation. C’est bon.